Lorsque la démocratie a le visage d'une femme battue

Publié le par Istovant


"Pour la deuxième fois depuis sa nomination à Matignon, François Fillon avait décidé d'engager la responsabilité du gouvernement, en vertu de l'article 49.1 de la Constitution, sur une déclaration de politique étrangère. (...)"


Des méthodes qui n'offrent aucune place pour le débat d'idées. Des passages en force. De plus en plus de mépris de l'opinion publique. Des attentes populaires qui ne trouvent aucune réponse, ni aucune oreille attentive.
Lorsque le peuple français refuse en mai 2005 le projet de constitution pour l'Europe, on le contourne en projettant de soumettre au vote du congrès ce texte, à la majorité des 3/5 (que le président est sûr d'obtenir).
J-F Copé parle d'une Ve République bis et je demande, "à quand la Ve République ter?". Nous sommes dans le royaume du roi Ubu. C'est un euphémisme.

Publié dans Politique

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
N
Toutefois, ne dit-on pas que les femmes battues ont tendance à se complaire dans le role de la victime ? Marianne n'a t-elle pas accueillie son bourreau à bras ouverts ?
Répondre
N
"Lorsque la démocratie a le visage d'une femme battue" : j'aime cette image.
Répondre